Depuis le 1er avril 2018, toutes les formes de contraception sont désormais incluses dans les protections du Régime de soins de santé de la fonction publique (RSSFP).
Auparavant, le RSSFP n’incluait que les pilules anticonceptionnelles. Le Régime couvre désormais tous les contraceptifs non administrés par voie orale comme les implants contraceptifs, les timbres transdermiques, les anneaux vaginaux, les diaphragmes et les dispositifs intra-utérins.
Comme les autres médicaments couverts par le Régime, ces moyens de contraception seront remboursés à 80 % du prix habituel et raisonnable.
Les modifications ont été négociées par le Comité des partenaires du Régime de soins de santé de la fonction publique, composé d’agents de négociation, de représentants du Conseil du Trésor et de pensionnés.
Le respect des droits des femmes, y compris le droit à la santé de la reproduction, est primordial dans le cadre de l’engagement fondamental qu’a pris notre gouvernement de donner des pouvoirs aux femmes, a déclaré Scott Brison, président du Conseil du Trésor. L’élargissement de la gamme de moyens de contraception inclus dans le Régime de soins de santé de la fonction publique est simplement la bonne chose à faire. »
L’ensemble du RRSFP est plus que mûr pour d’autres améliorations considérables. Une révision du plan et des négociations commenceront au printemps.
Pour en savoir plus sur ces modifications, consultez ce bulletin spécial du RSSFP.