L’ACEP et l’AFPC demandent à d’autres syndicats de se joindre à la lutte pour le droit au télétravail


Le président de l’ACEP, Nathan Prier, et la présidente nationale de l’AFPC, Sharon DeSousa, ont porté la campagne sur le télétravail dans le secteur public fédéral sur la scène syndicale nationale lors de la réunion du Conseil canadien du Congrès du travail. 

La dirigeante et le dirigeant se sont adressés à des dizaines d’affiliées et affiliés de divers syndicats canadiens des secteurs public et privé, de fédérations du travail et de conseils de sections locales, leur faisant valoir les avantages du télétravail pour les employées et employés des secteurs public et privé en vue d’obtenir un soutien national pour cette approche émergente. En mobilisant un soutien massif à cette approche, M. Prier et Mme DeSouza visaient à créer un front uni pour revendiquer des modalités de travail souples comme nouvelle norme d’emploi au Canada. 

Cette campagne s’inscrit dans le cadre d’un effort concerté des quatre plus grands syndicats du secteur public fédéral pour s’opposer à l’employeur, faire abroger l’obligation de travailler trois jours au bureau et faire enchâsser le droit au télétravail et les modalités de travail souples dans les conventions collectives fédérales. 

Unis dans leur défense du télétravail depuis le printemps 2024, l’Association canadienne des employés professionnels (ACEP), l’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC), l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC) et l’Association canadienne des agents financiers (ACAF) ont multiplié leurs efforts conjoints pour demander le droit au télétravail au nom de leurs membres partout au pays.

Les réunions du Conseil canadien ont eu lieu les 2 et 3 octobre 2024. Le président de l’ACEP, Nathan Prier, a également prêté serment en tant que délégué du CTC lors de la réunion, la première à laquelle il participe en tant que président de l’ACEP.

L’ACEP est membre du CTC depuis 2021.